« Un refuge de liberté » : le journal raconté par celles et ceux qui le font
Après dix jours de campagne, nous en sommes à 150 abonné·es et un peu plus de 5 000 euros récoltés. C’est un bon début, merci à nos premiers soutiens ! Nous sommes à 25 % de notre objectif, il faut maintenant aller plus loin.
Cette campagne est également l’occasion d’un temps d’information sur les coulisses du média car vos abonnements ont un impact concret sur la qualité du journal produit.
À chaque numéro, l’équipe s’agrandit avec de nouveaux journalistes et dessinateur·ices. Nous avons en commun la volonté de pratiquer un journalisme à contre-courant des flux d’info en continu. « En tant que journaliste, avec La Brèche j’ai le temps de creuser les sujets, avec une ligne éditoriale indépendante », apprécie la journaliste Marion Coisne. Nous recevons donc des propositions d’enquêtes nécessaires et ambitieuses. Les revenus réguliers des abonnements nous permettent de sélectionner les meilleures propositions pour chaque édition.
« Un journal essentiel dans le paysage médiatique actuel »
Les abonnements nous permettent aussi de rémunérer à sa juste valeur le travail de qualité fourni par nos journalistes. Fouiller, analyser et développer devrait être la norme, c’est devenu un luxe que La Brèche souhaite continuer d’offrir à celles et ceux qui écrivent dans nos colonnes. « La Brèche, pour un journaliste, c’est un refuge autonome de liberté de ton et de fond ; pour un lecteur, c’est une bouffée d’air frais dans l’atmosphère saturée d’info-spectacle », résume Luc Chatel, journaliste indépendant.
Les dessinateurs et dessinatrices s’invitent largement dans nos pages, avec des illustrations conçues sur-mesure pour chaque article. « La Brèche, c’est l’algorithme qui me propose les articles que j’ai envie de lire et illustrer ! », s’amuse le dessinateur Olivier Paire. Et pour rire, parfois du pire, le dessin de presse est l’outil idéal. « Un dessin réussi prête à rire. Quand il est vraiment réussi, il prête à penser. S’il prête à rire et à penser, alors c’est un excellent dessin », disait Tignous. Bésot, Bouzard, Dernoncourt, FYD, Lacombe, Lasserpe, JC Menu, Piga, Soph’… visent cet objectif à chaque numéro !
Nous défendons un artisanat médiatique unique, qui ne peut vraiment s’apprécier qu’en format papier. « La Brèche est un journal qui redonne toute sa place au papier, en mettant en lumière des sujets que l’on lit trop peu, à rebrousse-poil de l’actualité dictée par l’emballement des médias. Grâce à cela, La Brèche s’est positionnée comme un journal essentiel dans le paysage médiatique actuel », analyse Élodie Potente.
À chaque numéro, nous avons la sensation de franchir des paliers, de progresser. C’est grâce à l’apport de cette équipe qui s’étoffe, et que l’on peut rémunérer grâce à vos abonnements. Un cercle vertueux qu’il faut entretenir avec soin. Alors, comment faire pour que cela continue ?
Ensemble, défendons la presse libre et agrandissons La Brèche !